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Parlons Wakhi

By Karim Khan Saka
La langue wakhi est la forme originelle du vieux perse parlé sur les frontières des quatre pays suivants : le Tadjikistan, l'Afghanistan, la Chine et le Pakistan. Cette langue de la famille indo-européenne est parlée par une population d'environ 100 00 personnes. Le présent ouvrage aborde la géographie, l'histoire, la culture et les traditions de ce peuple, et fait découvrir aux lecteurs une langue remontant à plus 3000 ans. 

Parlons Balti

By Karim Khan Saka
La langue balti est considérée comme l'ancienne forme de la langue tibétaine. Selon un sondage, le balti est parlé aujourd'hui par 770 000 personnes. En dehors du Tibet, on l'emploie dans trois provinces de la Chine (Xinjiang, Sichuan et Yunnan), au Bhoutan, au Népal et en Inde (Sikkim, Poraig, Ladakh). Au Baltistan, dans le nord du Pakistan, cette langue est parlée par une population de 400 000 personnes.

Parlons Shina:

By Karim Khan Saka
Appartenant à la famille des langues indoeuropéennes, le shina est parlé dans les régions montagneuses de la Haute vallée de l'Indus, autour de Gilgit. Les locuteurs, évalués au nombre de 550000, habitent principalement le Pakistan, et l'Inde pour 25000 d'entre eux. Voici abordées la géographie, l'histoire, la culture et la tradition de ce peuple.

SGA Wakhi Express:

By Karim Khan Saka
The Shadow Girls’ Academy (SGA) has launched the second edition of “Wakhi Express”, a bi-lingual magazine edited by Karim Khan Saka.The second edition of SGA’s Wakhi Express has been dedicated to the “unique culture of Wakhi (Tajik) people living in China”.

Road infrastructure, mobility and gendered subjectivities in Shimshal, Pakistan:

Translated By Karim Khan Saka
Shimshal is the most recent village in the Gojal region of northern Pakistan to gain road access to the Karakoram Highway. This paper analyzes relational reconfigurations of gendered mobilities, spaces and subjectivities in the community that are contoured by the ensuing shift in local mobility system, in which vehicular mobility replaces walking as the means to access the highway. Drawing on longitudinal ethnographic data, we describe pedestrian-era gendered movement patterns and spaces, and the ways in which modernizing road infrastructure has reorganized mobilities and regendered village spaces. We then analyze changes in gender performances and self-representations that are commensurate to the modernized spaces in which they are enacted. We conclude by assessing the uneven and unanticipated consequences of these mobility-inflected processes for gendered futures in the community.
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